La reprise de dressage est un enchaînement de figures imposées, identiques pour tous les concurrents, exécutées sur un rectangle de 100 M X 40. Les juges notent la régularité des allures, le calme, l'assurance, l'impulsion et l'attitude des chevaux dans le mouvement. Le meneur est jugé sur sa position, la précision de ses ordres et sa maîtrise de l'attelage.
Le marathon comporte une succession d’obstacles naturels ou construits (chicanes, gué, buttes, dévers…) à aborder dans un ordre précis. C'est le moment le plus technique pour les meneurs, et le plus spectaculaire pour le public. Le passage des obstacles est chronométré. Les concurrents doivent les franchir le plus rapidement possible alternant dérapages, relances, trajectoires et courses « grand galop »!
Les attelages doivent slalomer au travers de portes matérialisées par des cônes. Cette épreuve s’apparente au concours hippique où les barres tombées sont ici des balles reposant sur les cônes. Le parcours doit être effectué dans un temps imposé. Pour cette ultime épreuve, l’exactitude demandée aux concurrents et le stress du classement final font monter encore d’un cran la pression.